

Paris-Téhéran
Après avoir vécu 37 ans en France, ma mère est retournée en Iran. Malgré la distance, nous tentons de rester proches grâce aux appels vidéo.Je m’interroge sur ce qui a pu la pousser à partir. De son côté, la culpabilité d’avoir quitté sa famille se mélange à la joie de retrouver son pays natal.
My stolen planet
Née durant la révolution islamique iranienne en 1979, Farah réalise à sept ans qu’elle vit sur deux planètes : celle de l’Ayatollah, et l’autre, cachée, où elle ose être elle-même. À l’achat d’une caméra, son monde évolue, alimenté de danse, de joie. Elle y ajoute des enregistrements et des archives 8 mm abandonnées par les familles en exil afin de créer une histoire alternative de l’Iran. Forcée à l’exil, la cinéaste entame une résistante intime et politique contre l’oubli, aussi motivée par la maladie d’Alzheimer de sa mère. Sa connexion avec Leyla, une professeure iranienne qui a quitté l’Iran pendant la révolution, donne un nom et une histoire à l’un des visages de ses archives. À l’automne 2022, le soulèvement " Femmes, Vie, Liberté " devient un tournant dans la vie de Farah, ainsi que dans celle de nombreux Iraniens.
Soirée spéciale iranienne
(Publié le 28/10/2025)
mardi 11 novembre 18h VOST
mardi 11 novembre 18h35 VOST
Projection du documentaire Paris-Téhéran (0h29) réalisé par Daniel Baharmi, suivi par My stolen planet (1h26) réalisé par Farahnaz Sharifi.
Un échange avec le réalisateur Daniel Bahrami suivra la projection du 2e film
attention aux horaires!
en partenariat avec les Cinémas indépendants de Bourgogne Franche Comté